On suit avec plaisir les aventures du jeune pygmée qui se veut plus mondialiste que la mondialisation. Beaucoup de références littéraires, le plus souvent non explicitées (
Confucius,
Dany Laferrière) . Cependant, le récit s'entrecoupe de digressions sur les forces armées de l'Onu, les massacres génocidaires et les poncifs sur le sexe entre blanche et noir, sur la "dette coloniale" de l'Occident alourdissent le propos et ôte la nature divertissante qui était celle du départ.
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