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Critique de Chocolapin
Angel Allegria est un assassin. Quand il arrive dans une maison reculée, il tue ses occupants, les parents d'un petit Paolo. Mais une fois devant l'enfant, il ne peut se résoudre à l'achever. Il va alors le prendre sous son aile et une improbable affection va se nouer entre ce jeune garçon et le meurtrier de ses parents.
L'histoire débute brutalement avec la tuerie des parents du petit Paolo. Ensuite, la tension s'apaise et nous assistons à l'apprivoisement des protagonistes qui n'ont, a priori, rien en commun. Une relation filiale va naître et quand un nouveau personnage viendra s'immiscer dans l'histoire, des tensions et de la jalousie vont apparaître. La force de ce roman est donc l'analyse des émotions humaines que l'on ressent assez bien. Nous voyageons également en Amérique du Sud, ce qui est appréciable. En revanche, j'ai un doute quant à la cible du livre. Il est assez compliqué pour des jeunes lecteurs et plutôt poétique. J'ai tout de même passé un bon moment de lecture.
L'histoire débute brutalement avec la tuerie des parents du petit Paolo. Ensuite, la tension s'apaise et nous assistons à l'apprivoisement des protagonistes qui n'ont, a priori, rien en commun. Une relation filiale va naître et quand un nouveau personnage viendra s'immiscer dans l'histoire, des tensions et de la jalousie vont apparaître. La force de ce roman est donc l'analyse des émotions humaines que l'on ressent assez bien. Nous voyageons également en Amérique du Sud, ce qui est appréciable. En revanche, j'ai un doute quant à la cible du livre. Il est assez compliqué pour des jeunes lecteurs et plutôt poétique. J'ai tout de même passé un bon moment de lecture.
