Copain de la nature

Le roi de l'attraction

Le buddléia est surnommé l'arbre à papillon car il les attire irrésistiblement.. Ces tiges fleuries sont couvertes de milliers de corolles blanches, pourpres ou violettes. Par une belle journée d'Août, tu pourras observer plus de 15 espèces différentes de papillons sur un seul buddléia.
Il est également apprécié des papillons de nuit. Son seul inconvénient : cette espèce exotique pousse parfois au détriment des arbustes de nos régions.

[Crée une mini-réserve naturelle]
2 Tu peux laisser la riche évoluer toute seule pendant plusieurs années. Tu peux aussi la faucher une fois par an, à l'automne [Note de Pégase Shiatsu et pas tout l'été comme certains vous y oblige, à l'automne ou en Avril, mais certainement pas en plein été!] quand les plantes ont toutes fait leurs graines.

Ortie-culture

L'ortie est souvent éliminée du jardin. Elle est pourtant peu exigeante et attire de nombreux petits animaux, dont des tas d'insectes. Sais-tu que 30 chenilles différentes aiment manger ses feuilles ? Que de papillons en perspective ! Alors, pourquoi ne pas laisser s'épanouir un petit massif d'orties dans un coin reculé du jardin? [note de Pégase Shiatsu : même constat avec le chardon pourtant détesté : il est butiné par la quasi-totalité des insectes butineurs, ce qui est assez rare, car les fleurs sont souvent butinés que par quelques espèces! Ortie ou chardon, c'est une affaire d'opportunité ou de choix, laisser leur une petite place!]

[Un jardin accueillant]

Plus c'est varié, mieux c'est
Une maison entourée d'un gazon uniforme et d'une haie de thuyas taillé au cordeau, que c'est triste ! Bien peu d'animaux s'y sentiront à l'aise. Plus il y aura de fleurs et d'arbustes différents, de niveaux et de recoins dans le terrain, plus ton jardin sera un beau terrain d'observation.

Il y a urgence
La protection de la nature est une affaire longue et compliquée, mais il y a des urgences à régler sans attendre. Certains sites naturels et certaines espèces animales et végétales sont menacés de disparitions sont menacés de disparition à brève échéance. Il reste, par exemple une douzaine d'ours en France.

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Attention : envahisseurs!

Nos étangs accueillent aujourd'hui des espèces inconnues chez nous jusqu'au XIXe siècle. Ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle...

Une triste histoire :
Entre 1900 et 1940, des éleveurs ont fait venir des ragondins, des rats musqués et des visons d'Amérique pour leur fourrure. Par la suite, certains élevages ont été abandonnés et des animaux s'en sont échappés. Ainsi, 3 nouvelles espèces ont colonisé nos rivières et nos étants.

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Réaction en chaîne
La pollution agit à tous les niveaux de la chaîne alimentaire. Si les plantes de la rivière contiennent des polluants, les poissons herbivores qui s'en nourrissent vont en contenir, en plus grande quantité. De même pour les poissons carnivores qui vont à leur tour les manger. A chaque étape, les polluants sont de plus en plus nombreux et finissent par empoissonner la loutre, tout au bout de la chaine.

P. 143 Au secours du saumon
Pour sauver le saumon de la disparition, on a élevé des individus en captivité, à partir d'œufs et de semence prises sur des adultes. Des alevins et de petits saumons de 1 ans ont été ensuite relâchés dans la rivière. De plus, des passes à poissons ont été construites dans les barrages pour aider les saumons à remonter vers les frayères. [notes de Pégase Shiatsu : il y a quelques reportages qui les montrent!]

Les niveaux de la forêt
Il y a 4 niveaux dans une forêt. Le premier niveau est celui du sous-sol, qui contient des racines. Le deuxième, au-dessus du sol, comprend les herbes, les fleurs, les fougères et les champignons. Le troisième niveau est celui des buissons, des arbustes tels que le noisetier, le houx, le genévrier, et des jeunes arbres en train de grandir tel que le noisetier, le houx, le genévrier, et des jeunes arbres en train de grandir. Le quatrième niveau est celui des grands arbres arrivés à maturité, au tronc épais et au houppier large et haut.

Participe au sauvetage des busards

S'il y a des busards près de chez toi, il y a surement des ornithologues qui interviennent chaque année pour éviter que la moissonneuse détruise nids et jeunes. Une des méthodes de sauvetage consiste à conserver autour du nid un carré de céréales non moissonné, le temps que les jeunes soient capables de voler. Tout cela demande beaucoup de temps et de patience : il faut repérer les nids, contacter les agriculteurs... Et si tu les aidais ?