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Citations sur Olangar, tome 2 : Une cité en flammes (6)

Par tous les démons, la politique qui se joue dans les quartiers coupe-gorge d’Olangar… Voilà que ça recommence.
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Ransard d’Alverny justifiait sa politique de construction massive par la nécessité de la reprise économique. Un damné mirage puisque seules les dépenses du royaumes permettaient de préserver les emplois créés. Aucune grande compagnie n’emboîtait le pas à la puissance publique.
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On ne se sentait jamais autant à Olangar que lorsqu’on se trouvait dans ses boyaux.
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-Cherchez-vous notre hôpital ?
Un à un les ouvriers hochèrent la tête. La révolte des nains avait amélioré le sort d’une partie du peuple. Les écoles ouvraient et les hôpitaux disposaient de meilleurs moyens pour soigner les malades et les infirmes. Mais les bases sociales demeuraient inchangées. Dans les usines, au fond des mines, sur les navires de commerce et dans les champs désormais arrosés de substances « bienfaitrices » pour les légumes, on mourrait encore. Ces hommes, comme tant d’autres, venaient ici pour éviter d’être vus dans les hôpitaux d’Olangar. Contre quelques couronnes d’argent, des mouchards donnaient aux grandes compagnies les noms des ouvriers qui se portaient mal et qu’il valait mieux ne pas embaucher.
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Le royaume ne savait pas gérer ses pauvres. Ou plutôt les ministres de D’Alverny et tous les autres avant eux ne savaient qu’attendre ce miracle économique qui devait les sauver. Un mirage. Pour survivre, il fallait faire grossir la caste des bourgeois. L’engraisser. Lui donner suffisamment pour qu’elle craigne de perdre. Et parfois, il fallait saisir l’un de ses membres pour le placer à un poste symbolique. Mais surtout, il fallait contenir la misère. Ne pas la laisser s’afficher au grand jour. Faire en sorte qu’on la méprise et non qu’on la prenne en pitié. Faire en sorte que la piétaille ouvrière tourne sa vindicte vers les petits exploitants et les autres travailleurs plutôt que vers les grands possédants.
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Je céderais peut-être à la tentation, qui sait ? Faire ce que l'on doit n'est pas aisé quand on peut faire ce que l'on veut.
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