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Critique de Rodin_Marcel
Bouquin Jérémy – "Le nègre du flic" – Pavillon noir / Corsaire éditions (Orléans), 2016 (ISBN 978-2-917843-96-3)
Il faut croire que ce roman policier est plutôt bien écrit et bien ficelé, puisque je l'ai lu il y a deux mois environ , et que je viens de le relire sans ennui aucun, ce qui est tout de même positif pour un roman à intrigue.
Cela tient bien sûr à la qualité d'écriture, qui – sans être extraordinaire – est tout de même honnête, ainsi qu'à la construction de l'intrigue elle-même, qui ne cesse de s'approfondir au fil des pages.
Ce qui m'a cependant le plus intéressé, c'est la façon subtile et rusée que l'auteur emploie pour insérer discrètement dans son récit ses réflexions sur la façon d'écrire un roman policier.
Loin d'en faire des tartines indigestes (comme nombre d'autres auteurs cassant les pieds au lecteur avec leur "vertige devant la page blanche" et autres fadaises), il procède avec habileté, ce qui justement incite à une deuxième lecture.
de ce fait, je m'en vais re-compulser l'autre roman de ce même auteur, intitulé "Printemps de barges".
J'avais acquis quelques romans publiés par cet éditeur d'Orléans pour me rendre compte par moi-même de la qualité proposée. Après une cruelle déception avec "Choc Berry blues" d'un dénommé Luc Fori, ce roman de Jérémy Bouquin (un patronyme prédestiné, comme on le lui a déjà dit sans doute un milliard de fois) me rend plus optimiste sur les chances de succès de cet éditeur.
Il faut croire que ce roman policier est plutôt bien écrit et bien ficelé, puisque je l'ai lu il y a deux mois environ , et que je viens de le relire sans ennui aucun, ce qui est tout de même positif pour un roman à intrigue.
Cela tient bien sûr à la qualité d'écriture, qui – sans être extraordinaire – est tout de même honnête, ainsi qu'à la construction de l'intrigue elle-même, qui ne cesse de s'approfondir au fil des pages.
Ce qui m'a cependant le plus intéressé, c'est la façon subtile et rusée que l'auteur emploie pour insérer discrètement dans son récit ses réflexions sur la façon d'écrire un roman policier.
Loin d'en faire des tartines indigestes (comme nombre d'autres auteurs cassant les pieds au lecteur avec leur "vertige devant la page blanche" et autres fadaises), il procède avec habileté, ce qui justement incite à une deuxième lecture.
de ce fait, je m'en vais re-compulser l'autre roman de ce même auteur, intitulé "Printemps de barges".
J'avais acquis quelques romans publiés par cet éditeur d'Orléans pour me rendre compte par moi-même de la qualité proposée. Après une cruelle déception avec "Choc Berry blues" d'un dénommé Luc Fori, ce roman de Jérémy Bouquin (un patronyme prédestiné, comme on le lui a déjà dit sans doute un milliard de fois) me rend plus optimiste sur les chances de succès de cet éditeur.
