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Critique de cleophas35
C'est en 1964, deux ans après l'attentat du Petit-Clamart, que Jacques de Bourbon-Busset a écrit ce court roman au caractère de fable.
Roman d'anticipation, il s'agit surtout d'un roman hors du temps. L'action est censée se passer en Italie, mais nous sommes un peu hors de l'Espace.
Un gouvernant, dont nous ne connaissons pas trop la légitimité, ni le caractère démocratique, a fait l'objet d'un attentat. Son auteur, un tout jeune homme, est condamné à mort.
Sur ce maigre décor, Bourbon Busset imagine la méditation du chef d'Etat face à son droit de grâce : s'il permet l'exécution, c'est une faute, s'il gracie, un aveu de faiblesse.
Le livre, court mais ardu, plein de références à Musset et Hugo, me semble avoir perdu de son actualité. Peut-être suis je passé à coté, mais il ne m'a pas vraiment marqué.
Roman d'anticipation, il s'agit surtout d'un roman hors du temps. L'action est censée se passer en Italie, mais nous sommes un peu hors de l'Espace.
Un gouvernant, dont nous ne connaissons pas trop la légitimité, ni le caractère démocratique, a fait l'objet d'un attentat. Son auteur, un tout jeune homme, est condamné à mort.
Sur ce maigre décor, Bourbon Busset imagine la méditation du chef d'Etat face à son droit de grâce : s'il permet l'exécution, c'est une faute, s'il gracie, un aveu de faiblesse.
Le livre, court mais ardu, plein de références à Musset et Hugo, me semble avoir perdu de son actualité. Peut-être suis je passé à coté, mais il ne m'a pas vraiment marqué.
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