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Critique de laetitiaflagothier
Après avoir lu tellement d'avis positifs et recherchant une lecture plus légère, je me suis à mon tour plongée dans l'histoire d'Olivier Bourdeaut: En attendant Bojangles...
Le petit grain de folie qui vous prend dès la première page et ne vous lâche plus avant la dernière, portée par un style tenant le rythme, fut hélas à la base d'un rendez - vous manqué pour moi! Je ne rejoindrai donc pas le club des adeptes et c'est là pour moi une grande frustration! Pourquoi me direz - vous? Toutes les histoires ne peuvent pas nous plaire... Et vous aurez raison!
Seulement voilà, Olivier Bourdeaut est un des rares qui est arrivé à aussi bien me faire rentrer dans une famille où un de ces membres est touché par une de ces maladies psychiques qui vous font voir pendant une période le monde en rose et dans une autre le monde en noir... Seulement son choix de garder le regard de fête de bout en bout de son histoire même aux heures les plus sombres m'a perdue... Parce que cela a fini par rendre l'histoire lisse au lieu de lui faire prendre de la densité...
Et je suis frustrée! le talent et le sujet y étaient... Il a manqué de ce petit rien qui fait toute la différence! Je reconnais que l'exercice n'est pas aisé et je ne peux m'empêcher de repenser au film La vie est belle de Roberto Benigni. Bien que nous ne soyons pas dans la maladie mentale pour celui - ci... Il se voulait une ode à la vie, là où Benigni n'a jamais occulté le tragique et l'horreur de la période historique qu'il traitait... La rencontre entre ces deux facettes est ce qui a donné toute sa dimension à ce film, le rendant intemporel! Et En attendant Bojangles aurait pu y prétendre aussi...
Le petit grain de folie qui vous prend dès la première page et ne vous lâche plus avant la dernière, portée par un style tenant le rythme, fut hélas à la base d'un rendez - vous manqué pour moi! Je ne rejoindrai donc pas le club des adeptes et c'est là pour moi une grande frustration! Pourquoi me direz - vous? Toutes les histoires ne peuvent pas nous plaire... Et vous aurez raison!
Seulement voilà, Olivier Bourdeaut est un des rares qui est arrivé à aussi bien me faire rentrer dans une famille où un de ces membres est touché par une de ces maladies psychiques qui vous font voir pendant une période le monde en rose et dans une autre le monde en noir... Seulement son choix de garder le regard de fête de bout en bout de son histoire même aux heures les plus sombres m'a perdue... Parce que cela a fini par rendre l'histoire lisse au lieu de lui faire prendre de la densité...
Et je suis frustrée! le talent et le sujet y étaient... Il a manqué de ce petit rien qui fait toute la différence! Je reconnais que l'exercice n'est pas aisé et je ne peux m'empêcher de repenser au film La vie est belle de Roberto Benigni. Bien que nous ne soyons pas dans la maladie mentale pour celui - ci... Il se voulait une ode à la vie, là où Benigni n'a jamais occulté le tragique et l'horreur de la période historique qu'il traitait... La rencontre entre ces deux facettes est ce qui a donné toute sa dimension à ce film, le rendant intemporel! Et En attendant Bojangles aurait pu y prétendre aussi...
