Mince, mince... Je savais que je ne devais pas attendre avant de publier ma chronique sur ce livre. Je savais que j'allais en perdre mes mots , ma saveur, la force d'une critique spontanée et fidèle.
J'ai terminé la lecture de ce roman passionnant il y a tout juste un mois.
Entre deux, il y a eu la vie, la mort, d'autres lectures passionnantes, des découvertes touristiques, des émotions fortes, des saveurs inattendues, des joies et des douleurs. Il y a eu trop. Beaucoup trop pour que je puisse parler de Né d'aucune femme à sa juste valeur.
Et ça me peine...
Parce qu'un tel livre mérite qu'on y mette toute son énergie.
Parce que des héros comme Rose méritent qu'on les mette en lumière et qu'on ne les oublie pas.
Parce que l'espoir mérite sa chance face à l'horreur et la méchanceté dont sont capables les hommes.
Parce que la complexité de l'intrigue m'a fait naviguer dans l'univers passionnants des dénouements possibles.
Parce que
Franck Bouysse mérite des chroniques dithyrambiques après avoir tant travaillé pour mettre entre nos mains ce petit chef d'oeuvre.
Parce qu'en écrivant ce petit bout de chronique, tout me revient instantanément à l'esprit.
Parce que je sais que ce roman m'a passionnément touchée.
Parce qu'il est Né d'aucune femme.