A force de lire deci delà, le nom de
Brasillach, j'ai lu "
Comme le temps passe". Lecture agréable et émouvante, on peut se poser la question, comment un auteur aussi sensible et doué s'est laissé enrôler dans la mouvance fasciste. Les motivations du général
De Gaulle pour ne pas le gracier sont incompréhensibles si on ne connait pas sa volonté de faire plaisir aux communistes qui voulaient la tête de
Brasillach pour accepter d'entrer dans son gouvernement.
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