Si l'oeuvre de
Robert Brasillach est très inégale, si l'on peut lui reprocher la virulence ampoulée emphatique et scandaleuse de journaliste collaborationniste,
les Poèmes de Fresnes tiennent évidemment une place à part et unique.
Bouleversants d'humanité, ils sont écrits sous la dictée de la mort et l'homme, dans sa vérité nue, se trouve seul face à lui-même, face à Dieu, face à la vérité. Merveilleux et pourtant si triste.
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