Je ne pense pas que ce soit vraiment la faute du livre, c'est juste que je ne suis pas le bon public pour ce roman. Beaucoup, beaucoup de testostérone à l'intérieur, de violence, de femmes qui ne pensent qu'au sexe (avec des mecs qui ne donnent pas particulièrement envie)...
Ceci dit, dès la page 92, un rebondissement inattendu, mais qui ne m'a pas donné envie plus que ça de continuer la lecture.
Les meurtres en série dans des coins paumés des Etats-Unis avec des péquenots qui ne volent pas bien haut, ce n'est pas mon truc, j'ai arrêté un peu avant la page 100.
Par contre, j'ai appris que
Roy Braverman était la même personne que Jacques Haret et
Ian Manook. Comme d'habitude chez les écrivains, changement de style = changement de pseudo.
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