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Critique de Nastasia-B
Bof, bof. Voici un " 3 étoiles " assez généreux de ma part. le format, le questionnement et les illustrations ont tout pour nous tromper et nous faire croire qu'il s'agit d'une suite ou du moins du même esprit que la série de livres de philosophie adaptée pour les enfants par Oscar Brenifier (textes) et Jacques Després (illustrations).
Mais en fait, c'en est une très, très, très, très pâle copie. Les auteurs ne sont plus les mêmes et les illustrateurs non plus. Il ne suffit pas de réutiliser les mêmes marionnettes pour obtenir les mêmes résultats. Je trouvais l'oeuvre de Brenifier et Després extrêmement bien faite, vivante et enrichissante, propre à susciter un véritable questionnement philosophique précoce chez les enfants.
Ici, bernique ! C'est plat, c'est très classique (dans le mauvais sens du terme), les illustrations n'apportent rien de plus que le texte, qui déjà n'apporte pas grand-chose. C'est bien pensant et surtout, faute grave, ça oriente le débat philosophique dans le sens du " c'est bien l'école ".
Or, si c'était un véritable ouvrage de philosophie, la question resterait aussi ouverte à la fin qu'au début, ce qui ne me semble pas être le cas ici.
Bref, ne sont compilés que les " bons " côtés de l'école, pseudo contrebalancés par les seuls " bons " côtés de ce que l'on vit hors de l'école.
Certes, l'ouvrage n'est pas non plus une catastrophe, mais c'est tellement différent et inférieur selon moi à la série d'origine que j'en suis restée tout amère. Donc, plutôt que de vous appesantir sur cette série (qui fait écho à la petite émission C'est Quoi L'Idée ?) je vous conseille sans ambages la série mère, qui comprenait : le Livre Des Grands Contraires Philosophiques ; C'Est Bien, C'Est Mal ; le Sens de la Vie ; La Question de Dieu et L'Amour Et L'Amitié.
Mais ce n'est bien sûr qu'un avis, c'est-à-dire très peu de chose. Contredisez-moi, comme écrivait Platon...
Mais en fait, c'en est une très, très, très, très pâle copie. Les auteurs ne sont plus les mêmes et les illustrateurs non plus. Il ne suffit pas de réutiliser les mêmes marionnettes pour obtenir les mêmes résultats. Je trouvais l'oeuvre de Brenifier et Després extrêmement bien faite, vivante et enrichissante, propre à susciter un véritable questionnement philosophique précoce chez les enfants.
Ici, bernique ! C'est plat, c'est très classique (dans le mauvais sens du terme), les illustrations n'apportent rien de plus que le texte, qui déjà n'apporte pas grand-chose. C'est bien pensant et surtout, faute grave, ça oriente le débat philosophique dans le sens du " c'est bien l'école ".
Or, si c'était un véritable ouvrage de philosophie, la question resterait aussi ouverte à la fin qu'au début, ce qui ne me semble pas être le cas ici.
Bref, ne sont compilés que les " bons " côtés de l'école, pseudo contrebalancés par les seuls " bons " côtés de ce que l'on vit hors de l'école.
Certes, l'ouvrage n'est pas non plus une catastrophe, mais c'est tellement différent et inférieur selon moi à la série d'origine que j'en suis restée tout amère. Donc, plutôt que de vous appesantir sur cette série (qui fait écho à la petite émission C'est Quoi L'Idée ?) je vous conseille sans ambages la série mère, qui comprenait : le Livre Des Grands Contraires Philosophiques ; C'Est Bien, C'Est Mal ; le Sens de la Vie ; La Question de Dieu et L'Amour Et L'Amitié.
Mais ce n'est bien sûr qu'un avis, c'est-à-dire très peu de chose. Contredisez-moi, comme écrivait Platon...
