Je suis prisonnier des Atori. Et d’elle.
Cette femme m’attire.
Son attrait est puissant.
Formidable.
Incassable.
Cette petite humaine m’a enchaîné.
Elle a fait de moi son prisonnier.
Elle a capturé mon esprit.
Mes désirs.
Mon cœur.
Aura-t-elle mon honneur aussi?
Ou mon désir pour elle détruira-t-il les démons qui m’obsèdent, et finira-t-il par me libérer?
Histoire de nous prévenir des dangers de la goinfrerie, Molière nous le disait déjà, fort sentencieusement : Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger ..... par la voix de .... de qui déjà ?