Malgré le ton souvent malicieux et les confettis de poésie qui voltigent ici et là dans le prosaïsme, cette autofiction échoue à matérialiser de vrais personnages qui sont surtout là pour servir de porte-étendard à cette critique acerbe du milieu éditorial. Parfois fable,
Les enchanteurs est en outre un tourbillon narratif désordonné, le "je" et le "elle" se mélangeant tandis que des commentaires viennent s'intercaler dans le récit qui, au début, peine à établir une chronologie claire (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/01/28/
les-enchanteurs-genevieve-brisac/)
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