Le duc de fer

J'ai laissé tomber page 404.
Impossible de continuer la lecture sans passer mon temps a fulminer en serrant les dents. J'ai pourtant l'habitude des romances historiques tendance patriarcales, j'étais peut être simplement plus de mauvaise humeur que d'habitude, mais celle-ci m'a beaucoup trop agacée.
C'est pas une romance. C'est un harcèlement sexuel par un immonde personnage masculin.
C'est l'histoire d'un homme beau, puissant, tyrannique et pervers qui décide de forcer une une inspectrice a se laisser baiser en abusant de son pouvoir sans aucun remord. Et, encore plus problématique a mes yeux, ca n'en fait pas un méchant, juste le Beau Gosse Sexy de l'histoire.
C'est au moment ou il lui dit en gros qu'il laissera son petit frère mourir si elle ne cède pas que j'ai arrêté la lecture, a dire vrai.
Les passages raconté du point de vue du personnage masculin (appelons le Hot Wenstein parce que c'est carrément ça) sont insupportables. C'est un tyran, qui "autorise" l'inspectrice a faire son travail, en attendant de pouvoir la fourrer (tout en lui faisant comprendre que vraiment elle ne devrait pas le faire, c'est mignon mais inutile, elle va finir dans son lit qu'elle le veuille ou non, et elle ne sera bonne qu'a ça).
Au moment ou je me suis arrêtée, on sent déjà que l'héroïne, pour le moment forte, indépendante et révoltée devant son arrogance et son mépris, va finir par céder et se rendre compte que rien ne vaut une bonne soumission au Mâle Alpha.
Berk.