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Critique de Marie2406
Décidément, la vie de Robert Langdon professeur d'histoire de l'art spécialisé dans la symbologie religieuse et enseignant à Harvard n'est pas de tout repos.
Après avoir déjoué le complot qui visait le Vatican et qui l'a fait courir en tous sens tant au Vatican que dans Rome dans « Anges et Démons », après avoir fui la PJ parisienne et le tueur de l'Opus Déi à ses trousses dans « Da Vinci Code », le voilà avec la C.I.A. à ses trousses en plein coeur de Washington.
Pourtant cette journée avait bien commencé, il avait été appelé par son ami et mentor Peter Solomon a donner une conférence lors du gala annuel organisé par la Fondation du Smithsonian présidée par Peter pour remplacer au pied levé le soir même un précédent conférencier qui s'était désisté au dernier moment.
Mais lorsque Robert arrive au Capitole, non seulement il constate qu'aucun gala n'est donné ce soir là, mais une terrible découverte l'attend.
Une main humaine a été déposée dans la rotonde du Capitole pleine de touristes et au nez et à la barbe de la sécurité.
Très vite, Robert va grâce à la bague qu'elle a toujours à l'un de ses doigts identifier la main de Peter, cette bague qui se transmet de générations en générations dans la famille Solomon : celle de Grand Maître d'une loge maçonnique.
Et à peine l'alerte donnée, la C.I.A. débarque de nulle part, classant cette affaire comme menaçant la sécurité des Etats-Unis.
Mais n'y a-t-il pas quelque chose d'étrange dans cette démarche de la C.I.A si prompte à intervenir ? Et qui sont réellement ces personnes se revendiquant de ce service ? Que cachent-elles au juste ?
Aidé de frères francs-maçons de Peter et de Katherine la propre soeur de Peter, Robert va alors entamer une folle course poursuite dans Washington pour fuir la C.I.A.et rechercher le secret millénaire de la Confrérie qui aurait été caché sous la ville.
Là encore les ficelles sont grosses, mais au final on se laisse prendre par l'énigme, même si le livre s'essouffle un peu sur la fin.
Après avoir déjoué le complot qui visait le Vatican et qui l'a fait courir en tous sens tant au Vatican que dans Rome dans « Anges et Démons », après avoir fui la PJ parisienne et le tueur de l'Opus Déi à ses trousses dans « Da Vinci Code », le voilà avec la C.I.A. à ses trousses en plein coeur de Washington.
Pourtant cette journée avait bien commencé, il avait été appelé par son ami et mentor Peter Solomon a donner une conférence lors du gala annuel organisé par la Fondation du Smithsonian présidée par Peter pour remplacer au pied levé le soir même un précédent conférencier qui s'était désisté au dernier moment.
Mais lorsque Robert arrive au Capitole, non seulement il constate qu'aucun gala n'est donné ce soir là, mais une terrible découverte l'attend.
Une main humaine a été déposée dans la rotonde du Capitole pleine de touristes et au nez et à la barbe de la sécurité.
Très vite, Robert va grâce à la bague qu'elle a toujours à l'un de ses doigts identifier la main de Peter, cette bague qui se transmet de générations en générations dans la famille Solomon : celle de Grand Maître d'une loge maçonnique.
Et à peine l'alerte donnée, la C.I.A. débarque de nulle part, classant cette affaire comme menaçant la sécurité des Etats-Unis.
Mais n'y a-t-il pas quelque chose d'étrange dans cette démarche de la C.I.A si prompte à intervenir ? Et qui sont réellement ces personnes se revendiquant de ce service ? Que cachent-elles au juste ?
Aidé de frères francs-maçons de Peter et de Katherine la propre soeur de Peter, Robert va alors entamer une folle course poursuite dans Washington pour fuir la C.I.A.et rechercher le secret millénaire de la Confrérie qui aurait été caché sous la ville.
Là encore les ficelles sont grosses, mais au final on se laisse prendre par l'énigme, même si le livre s'essouffle un peu sur la fin.
