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Critique de anhj
Une lecture agréable, un divertissement sans prétention qui nous ramène à la glorieuse époque des pulps.
Les ferrailleurs du cosmos est un fix-up d'une dizaine de nouvelles, cohérent et bien construit, y compris sur le plan de la chronologie. Eric Brown n'avait à l'origine, de son propre aveu, aucune intention de développer l'univers de "Droits de sauvetage", l'avant-dernière nouvelle mais chronologiquement la première rédigée. Fort heureusement, un appel à textes opportun a infléchi le destin et nous pouvons en apprendre un peu plus sur Ed, Ella et Karrie, ainsi qu'un certain nombre de races extra-terrestres plus ou moins recommandables. Tout ceci naturellement dans un décor de vaisseaux très moches ou au contraire aux allures de cathédrale, et de planètes variées, hostiles ou accueillantes, comme le veut le genre.
Le meilleur texte est pour moi "Exorciser ses fantômes" mais l'ensemble se laisse vraiment lire avec plaisir. C'est le bouquin parfait pour lire quelques pages avant de dormir sans trop avoir besoin de réfléchir, ou pour une fausse sieste en attendant sans y croire que la chaleur baisse un peu.
Les ferrailleurs du cosmos est un fix-up d'une dizaine de nouvelles, cohérent et bien construit, y compris sur le plan de la chronologie. Eric Brown n'avait à l'origine, de son propre aveu, aucune intention de développer l'univers de "Droits de sauvetage", l'avant-dernière nouvelle mais chronologiquement la première rédigée. Fort heureusement, un appel à textes opportun a infléchi le destin et nous pouvons en apprendre un peu plus sur Ed, Ella et Karrie, ainsi qu'un certain nombre de races extra-terrestres plus ou moins recommandables. Tout ceci naturellement dans un décor de vaisseaux très moches ou au contraire aux allures de cathédrale, et de planètes variées, hostiles ou accueillantes, comme le veut le genre.
Le meilleur texte est pour moi "Exorciser ses fantômes" mais l'ensemble se laisse vraiment lire avec plaisir. C'est le bouquin parfait pour lire quelques pages avant de dormir sans trop avoir besoin de réfléchir, ou pour une fausse sieste en attendant sans y croire que la chaleur baisse un peu.
