-Tiens, dit Julien, c'est donc pour les peuples comme en classe, où chacun tâche d'être le premier?
- Justement, petit Julien. Dans l'industrie celui qui fait les plus beaux ouvrages les vend mieux, et c'est tout profit. Quand les hommes seront plus sages, ils ne voudront obtenir les uns sur les autres que de ces victoires-là. Vois-tu, ce sont les meilleures et les plus glorieuses; elles ne coûtent la vie à personne et personne ne risque d'y perdre une patrie.
Continuez toujours ainsi, car il ne suffit pas dans le péril d'avoir un coeur courageux : il faut encore savoir conserver un esprit calme et précis, qui sache diriger le coeur et qui l'aide à triompher du danger par la réflexion.
Ne vous fiez pas étourdiment à ceux que vous ne connaissez point. On ne se repent jamais d'avoir été prudent.
Si vous parcouriez le France, que de merveilles vous admireriez dans l'industrie des hommes, à côté des beautés de la nature !
Un bon animal ne coûte pas plus à nourrir qu'un mauvais et rapporte beaucoup plus.
Après qu'on a travaillé, le plus utile des délassements est une lecture qui vous instruit. L'âge de s'instruire n'est jamais passé.
On est jamais si heureux de savoir écrire que quand on peut, par une lettre, montrer à un absent son affection ou sa reconnaissance.
Quoi! pensa-t-elle, ces enfants ont fait seuls et la nuit une route si longue dans la montagne! Voilà de jeunes cœurs bien courageux et dignes qu'on leur vienne en aide.
La race blanche, la plus parfaite des races humaines, habite surtout l'Europe…
Voulez-vous qu'on pense et qu'on dise du bien de vous, n'en dites point vous-même
Soumettons-nous à la loi, même quand elle nous parait dure et pénible.
honte aux égoistes qui ne songent qu'à eux-mêmes, honneur à l'homme désintéressé qui s'oublie pour les autres.
vous-a-t-on rendu un service, cherchez tout de suite ce que vous pourriez faire pour obligé à votre tour celui qui vous a obligé.