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Critique de Gwen21
Après l'échec de mon premier Brussolo - "Le château des poisons" - et sous la pression véhémente de ses admirateurs me reprochant de ne pas avoir adhéré au style de leur écrivain adulé, je m'étais promise de retenter ma chance et puisque l'auteur est un sacré touche-à-tout, j'ai opté pour un genre différent avec "D.E.S.T.R.O.Y." qui plonge le lecteur dans un univers d'espionnage et d'agents tueurs.
Ce premier tome introduit la série mais n'en demeure pas moins très musclé en termes d'action, sur un rythme effréné. le D.E.S.T.R.O.Y. est un département de services secrets dirigé par un Russe pour la stratégie et par un Japonais pour la technique scientifique. Sa spécificité : n'employer que des femmes. Des James Bond Girls ++ dont l'organisme a été investi par les nanotechnologies. Devenues des créatures hybrides qui auraient toute leur place dans une revue "Strange" aux côtés des héros Marvel, Yumiko et Peggy, les deux héroïnes, sont métamorphes et quasi mutantes. Et il ne faut rien de moins pour relever les missions kamikaze qui leur sont confiées... ou devrais-je dire imposées ?
Une nouvelle race d'espion est donc née sous la plume de Serge Brussolo et la narration de "L'homme de la banquise" n'est pas sans rappeler les univers de "Kill Bill" ou de "X-Files". Même si l'ensemble paraît outré et déjanté, le roman fonctionne bien, à la manière d'un bon James Bond. Avis aux amateurs !
Challenge PAVES 2020
Challenge MULTI-DEFIS 2020
Challenge des 50 objets
Ce premier tome introduit la série mais n'en demeure pas moins très musclé en termes d'action, sur un rythme effréné. le D.E.S.T.R.O.Y. est un département de services secrets dirigé par un Russe pour la stratégie et par un Japonais pour la technique scientifique. Sa spécificité : n'employer que des femmes. Des James Bond Girls ++ dont l'organisme a été investi par les nanotechnologies. Devenues des créatures hybrides qui auraient toute leur place dans une revue "Strange" aux côtés des héros Marvel, Yumiko et Peggy, les deux héroïnes, sont métamorphes et quasi mutantes. Et il ne faut rien de moins pour relever les missions kamikaze qui leur sont confiées... ou devrais-je dire imposées ?
Une nouvelle race d'espion est donc née sous la plume de Serge Brussolo et la narration de "L'homme de la banquise" n'est pas sans rappeler les univers de "Kill Bill" ou de "X-Files". Même si l'ensemble paraît outré et déjanté, le roman fonctionne bien, à la manière d'un bon James Bond. Avis aux amateurs !
Challenge PAVES 2020
Challenge MULTI-DEFIS 2020
Challenge des 50 objets
