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Critique de xalatan
Deuxième volume de la saga chinoise en trois volumes, écrite par Pearl Buck, prix Nobel de littérature 1938. Il est conseillé de lire ce volume à la suite du premier, "Terre chinoise". En effet, malgré quelques indications sur les liens familiaux unissant les différents personnages, le lecteur serait ignorant du passé de la famille Lung et passerait à côté de beaucoup de choses.
J'ai trouvé ce Tome 2 beaucoup moins captivant que le premier. Il s'intitule "les Fils de Wang-Lung" (Sons) mais il ne s'intéresse finalement qu'au troisième fils qui a refusé de s'occuper des terres de son père pour se faire soldat et réaliser son rêve de devenir un seigneur de guerre. Je suis contente d'être arrivée à la fin du livre alors que j'aurais souhaité que le premier volume puisse continuer. Ici, ce sont surtout des récits de batailles, de ruse, de trahison, de stratégie pour se procurer de l'argent ou des fusils étrangers.
L'auteur délaisse les relations hommes-femmes pour se focaliser sur les relations entre les pères et leurs fils. C'est ce côté-là du récit qui finalement a le plus retenu mon attention. Les pères projettent leurs désirs sur leurs fils, certains rejettent cette pression, d'autres s'en accommodent, d'autres préfèrent se tuer plutôt que d'obéir. Des filles, nous ne saurons rien.
Dans l'ensemble, ce roman m'a déçue après le premier qui était si captivant.
J'ai trouvé ce Tome 2 beaucoup moins captivant que le premier. Il s'intitule "les Fils de Wang-Lung" (Sons) mais il ne s'intéresse finalement qu'au troisième fils qui a refusé de s'occuper des terres de son père pour se faire soldat et réaliser son rêve de devenir un seigneur de guerre. Je suis contente d'être arrivée à la fin du livre alors que j'aurais souhaité que le premier volume puisse continuer. Ici, ce sont surtout des récits de batailles, de ruse, de trahison, de stratégie pour se procurer de l'argent ou des fusils étrangers.
L'auteur délaisse les relations hommes-femmes pour se focaliser sur les relations entre les pères et leurs fils. C'est ce côté-là du récit qui finalement a le plus retenu mon attention. Les pères projettent leurs désirs sur leurs fils, certains rejettent cette pression, d'autres s'en accommodent, d'autres préfèrent se tuer plutôt que d'obéir. Des filles, nous ne saurons rien.
Dans l'ensemble, ce roman m'a déçue après le premier qui était si captivant.
