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On avait lu de Jonathan Buckley. Fleuve, son précédent roman, également paru au Castor Astral, maison d'édition jusqu'àlors plutôt spécialisée dans les essais sur la musique.

Les éditions du Castor Astral continuent pourtant de mettre en avant un auteur méconnu qui sait tisser une ambiance particulière dans une fresque sur la Toscane d'hier et d'aujourd'hui.

Un peu comme dans un tableau , Buckley place au premier rang de son intrigue un village fictionnel de Toscane avec son solfkore et son paysage magnifique.

Entre passé et présent, le roman aborde des thématiques aussi variées que l'art, l'architecture la nature ou l'histoire .
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Ce livre est apparu pour moi comme un livre "ovni".
Il parle de Toscane, d'art, de peinture, de disparitions notamment.
Il est assez ardu et il faut bien s'accrocher pour tout suivre et il y a plusieurs temporalités.
L'écriture est très soignée et j'ai trouvé dommage que le récit soit inégal de mon point de vue car le style est très bon, bien supérieur à beaucoup de livres contemporains.
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Gideon Westfall est un peintre vivant à Castellucio, petite ville italienne avec son assistant, Robert. Un jour, une jeune femme sonne à la porte du peintre. Il s'agit De Claire, la nièce de celui-ci. Elle va alors rencontrer cet homme étrange qu'est son oncle et qui n'a jamais fait partie de sa vie avant aujourd'hui. Un homme seul, exigeant, fidèle à ses petites habitudes et, fait étrange, l'une de ces modèle à disparue.

Avec ce livre, Jonathan nous fait voyager en douceur en terre italienne. La richesse des détails permet de s'immerger pleinement dans cet univers que nous propose l'auteur.

J'ai été très étonné par cette lecture. J'ai d'abord eu du mal à rentrer vraiment dans l'histoire. J'ai trouvé l'histoire lente et tous les détails me faisait perdre le fils. Pourtant, au fur et à mesure des pages, je me suis laissé happé par le recit et j'ai dévoré ce livre que j'ai finalement trouvé passionnant.

Il s'agit donc d'une très belle découverte pour moi, et je recommande vivement ce livre.
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Gideon Westfall est un peintre vivant à Castellucio, petite ville italienne avec son assistant, Robert. Un jour, une jeune femme sonne à la porte du peintre. Il s'agit De Claire, la nièce de celui-ci. Elle va alors rencontrer cet homme étrange qu'est son oncle et qui n'a jamais fait partie de sa vie avant aujourd'hui. Un homme seul, exigeant, fidèle à ses petites habitudes et, fait étrange, l'une de ces modèle à disparue.

Avec ce livre, Jonathan nous fait voyager en douceur en terre italienne. La richesse des détails permet de s'immerger pleinement dans cet univers que nous propose l'auteur.

J'ai été très étonné par cette lecture. J'ai d'abord eu du mal à rentrer vraiment dans l'histoire. J'ai trouvé l'histoire lente et tous les détails me faisait perdre le fils. Pourtant, au fur et à mesure des pages, je me suis laissé happé par le recit et j'ai dévoré ce livre que j'ai finalement trouvé passionnant.

Il s'agit donc d'une très belle découverte pour moi, et je recommande vivement ce livre.
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D'une ville imaginaire de Toscane, Castellucio, Jonathan Buckley fait le lieu de toutes formes de représentations artistiques. Si Nostalgia est l'histoire d'un peintre de sa nièce et de son assistant, le roman prend tout son sens dans cet épuisement du réel qu'est toute expression artistique. Dans un impressionnant travail sur le motif, morcelé en douze parties composées de douze séquences, Jonathan Buckley parvient à inventer un lieu, susciter ses fantômes, recréer ses mythologies. Un roman véritablement passionnant dans sa tension vers un sens jamais symbolique.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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Nostalgia est un roman de Jonathan Buckley qui narre l'histoire de Castelluccio, un petit village fictif de Toscane où s'est établi le peintre Gideon Westfall. Merci aux éditions le Castor Astral et à Babelio pour cet envoi.

Hélas, je termine la lecture de ce livre avec un avis aussi mitigé que perplexe… Peut-être suis-je passée à côté de ce que l'auteur cherchait à transmettre à travers son oeuvre, mais bon sang que ce fut long ! Pas inintéressant, mais long !

Et pourtant, il y a du très bon. La relation des trois personnages principaux (Gideon, son assistant Robert et sa nièce Claire qui fait plus ou moins sa connaissance) est plaisante à suivre, de même que toutes les questions qui tournent autour de l'art, du talent, de ce qu'il est pertinent de représenter ou non, du modernisme, de l'abstrait… J'ai beaucoup aimé les réflexions que le roman soulève à ce sujet.

En revanche, je l'avoue, j'ai survolé des passages, notamment ceux qui semblaient tout droit sortis d'une encyclopédie. Je n'en ai pas compris l'intérêt. Il en va aussi de tous les détails « historiques » concernant la ville de Castelluccio. Autant je ne peux que féliciter l'auteur pour avoir su créer une cité entière et son passé sur plusieurs siècles, autant j'ai totalement décroché avant d'arriver au milieu du livre.

Je me suis perdue avec les personnages du présent, avec ceux du passé, j'ai mélangé les évènements auxquels ils étaient associés, les liens qui les unissaient, les générations auxquelles ils appartenaient… Bref, j'étais relativement déconnectée dès lors que le roman s'écartait du triangle principal.

Je pense que le problème réside dans le fait que l'auteur a voulu en faire trop, au point que son histoire devienne véritablement étouffante. Et c'est dommage, parce qu'il y a vraiment des éléments que j'ai appréciés, qui sont même passionnants, mais cela ne change malheureusement rien au fait que les trois quarts de la lecture m'ont paru soporifiques.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Lorsque j'ai choisi ce livre le titre "nostalgia" a attiré mon attention. Il est très évocateur, il crée des images de temps passé, de douceur. Que l'intrigue se déroule en toscane a joué aussi un rôle dans mon choix.
Je ne connaissais pas Jonathan Buckley et j'ai été enchantée par son écriture. J'ai d'abord été surprise par la numérotation à l'intérieur de chaque chapitre 1.1 , 1.2, 1.3... Mais on s'y habitue on a presque l'impression que c'est pour mieux retrouver les passages lors de recherches littéraires ou pour mémoriser.
Dans un premier temps ce qui a titillé ma curiosité ce sont les relations familiales, pourquoi n'a t-il pas revu sa nièce depuis longtemps ? Par exemple.
Puis, ce sont les personnages et leur portrait qui se dessine peu à peu... la mise en avant de leurs personnalités et des relations entre eux.
Vient ensuite la peinture, la lumière et les couleurs... Je ne sais pas si cela vient du fait que l'oncle soit un peintre mais on a une forte présence du regard. C'est très visuel.
Et enfin la terre, ce village et sa force d'attraction... La nature.
Je ne vais pas vous dévoiler l'intrigue car c'est un roman qui se savoure. le rythme est lent. C'est un roman qui convient aux lecteurs qui aiment les atmosphères, les romans où on s'installe pour explorer les lieux, leur histoire et leurs habitants.On suit les personnages dans tous leurs déplacements, leur découvertes, leur interrogations.
Je remercie les Éditions du Castor Astral et Babelio pour ce partenariat. Jonathan Buckley est un auteur que j'aurai plaisir à lire.
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