Ma relation à la Bretagne est physique. Elle passe par le corps, par les odeurs. C'est comme une addiction, une drogue.
Le week-end, j'allais chez mon oncle et chez mes grands-parents. J'avais un peu de mal à m'intégrer aux autres pensionnaires. J'étais resté parisien. "Parigot tête de veau", alors que quand j'étais à Paris, j'étais "breton tête de con".