Citations sur Les fiancées Windham, tome 2 : Un Écossais à Londres (2)
Le sort d’un fils cadet n’était guère enviable. Rosalyn préférait de loin son statut de fille à marier, qui passerait de la protection d’un père à celle d’un mari, jusqu’à ce que le veuvage lui accorde une liberté bien méritée.
Quant aux débutantes, elles étaient un peu la piétaille de la haute société, les jeunes recrues qui vivaient dans la terreur de souiller leur bel uniforme ou de commettre un impair sur le champ de bataille.