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Critique de verobleue
Lors d'une grossop de chez Bragelonne, je me suis laissée tentée par trois tomes d'une série de Fantasy urbaine : Les Dossiers Dresden, écrit par Jim Butcher.
Harry Dresden est sorcier, un magicien mercenaire. Mais c'est aussi un détective privé, consultant pour la police de Chicago. Techniquement, c'est le seul de sa catégorie : lorsque la police de Chicago est sur une affaire qui la dépasse, c'est vers lui qu'elle se tourne.
Harry Dresden est loin des stéréotypes du détective privé classique. Il vit dans un entresol rempli d'accessoires de sorcellerie avec un vrai crâne ancien, habité d'un esprit encyclopédique mais aussi obsédé sexuel à l'humour douteux. Il a des problèmes pour payer son loyer, tout appareil électrique tombe en panne à sa présence, sa voiture est une épave. Il manque d'enquêtes à solutionner. Il est assez maladroit et chez lui, « le pire est toujours certain » parce qu'il arrive toujours à se mettre dans des situations inextricables
Murphy, femme-flic de la police de Chicago, un peu rebelle, le consulte pour un double meurtre macabre, une affaire bizarre et louche qui trempe dans la magie noire même si une bonne partie de ses collègues pense qu'il est un charlatan. Une jeune femme lui confie une enquête : elle pense que son mari la trompe.
Ce premier tome de la série permet de se faire une idée sur Harry Dresden : son look particulier, son humour sarcastique, sa façon d'être chevaleresque. Il y a de l'action et des manipulations magiques extraordinaires, de l'humour et des jeux de mots. On devine qu'il a un lourd passé, des compétences supérieures en terme de survie, de combat et de magie.
Ce premier tome est court et laisse beaucoup de questions en suspens sur son passé et sur le fonctionnement de l'Outremonde, où coexistent vampires, magiciens, démons, sorcières...
Bonne pioche ! Je me suis régalée. L'intrigue est bonne, je me suis sentie impliquée dans les états d'âme de Harry, j'ai suivi les rebondissements avec intérêt.
Harry Dresden est sorcier, un magicien mercenaire. Mais c'est aussi un détective privé, consultant pour la police de Chicago. Techniquement, c'est le seul de sa catégorie : lorsque la police de Chicago est sur une affaire qui la dépasse, c'est vers lui qu'elle se tourne.
Harry Dresden est loin des stéréotypes du détective privé classique. Il vit dans un entresol rempli d'accessoires de sorcellerie avec un vrai crâne ancien, habité d'un esprit encyclopédique mais aussi obsédé sexuel à l'humour douteux. Il a des problèmes pour payer son loyer, tout appareil électrique tombe en panne à sa présence, sa voiture est une épave. Il manque d'enquêtes à solutionner. Il est assez maladroit et chez lui, « le pire est toujours certain » parce qu'il arrive toujours à se mettre dans des situations inextricables
Murphy, femme-flic de la police de Chicago, un peu rebelle, le consulte pour un double meurtre macabre, une affaire bizarre et louche qui trempe dans la magie noire même si une bonne partie de ses collègues pense qu'il est un charlatan. Une jeune femme lui confie une enquête : elle pense que son mari la trompe.
Ce premier tome de la série permet de se faire une idée sur Harry Dresden : son look particulier, son humour sarcastique, sa façon d'être chevaleresque. Il y a de l'action et des manipulations magiques extraordinaires, de l'humour et des jeux de mots. On devine qu'il a un lourd passé, des compétences supérieures en terme de survie, de combat et de magie.
Ce premier tome est court et laisse beaucoup de questions en suspens sur son passé et sur le fonctionnement de l'Outremonde, où coexistent vampires, magiciens, démons, sorcières...
Bonne pioche ! Je me suis régalée. L'intrigue est bonne, je me suis sentie impliquée dans les états d'âme de Harry, j'ai suivi les rebondissements avec intérêt.
