« Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ? »
J’aurais dû me méfier des Bruns dès qu’ils nous ont imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à moi mon chat, comme son chien pour Charlie, on aurait dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?
Résister davantage, mais comment ?
Ça va vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?
Avec des moyens limités, nous avons alors décidé d’éditer ce texte pour montrer que les démissions quotidiennes de chacun d’entre nous facilitent et nourrissent la montée insidieuse des idées totalitaires dans la société.
Ni couleur imposée ni pensée unique, nos matins seront libres.
C'est pas la question,c'était pas un chien brun,c'est tout.
Par mesure de précaution, on avait pris l'habitude de rajouter brun ou brune à la fin des phrases ou après les mots car c'est impossible et pourtant c'est ce qui est arrivé pendant le nazisme
Sait-on où peuvent nous mener ces petites lâchetés de chacun d'entre nous ?
Ma foi, un chat, c'est un chat, et comme il fallait bien résoudre le problème d'une façon ou d'une autre, va pour le décret qui instaurait la suppression des chats qui n'étaient pas brun
Résister davantage, mais comment ?
Ça va vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?