J'ai voulu lire ce journal parce que j'avais été très émue par les dernières phrases qu'
Henri Calet écrivit le 11 juillet, avant sa mort le 14 juillet. "C'est sur la peau de mon coeur que l'on trouverait des rides. Je suis déjà un peu parti, absent. Faites comme si je n'étais pas là. Ma voix ne porte plus très loin. Mourir sans savoir ce qu'est la mort, ni la vie. Il faut se quitter déjà ? Ne me secouer pas. Je suis plein de larmes. le reste est un journal dont l'intérêt réside dans l'intérêt que l'on porte à l'auteur qui reste assez méconnu de nos jours.
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