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Critique de Pachy
Le but n'est pas de réécrire la quatrième de couverture. Un résumé en fin de livre le fait très bien. Parlons plutôt du contexte et de la méthode.
La méthode est bien connue et marche plutôt bien. Créer des personnages que l'auteure insère dans un fond historique hyper connu mais où il sera bon d'y replonger grâce à internet et aux livres des historiens.
Cette période, 14e siècle était riche en horreurs de tous genre. D'abord les Templiers qui jetèrent un sort sur la royauté par l'entremise de Jacques de Molay le jour où il fut brûlé. Ce trésor qu'ils auraient caché et que jamais on ne retrouva. L'inquisition qui envoya à la mort tous et toutes qui se mettraient en travers de leur chemin macabre. Ces rois (dont Charles IV qui s'alliaient avec les inquisiteurs leur faisant ainsi faire les sales besognes au nom du Christ.
Voilà, c'est dans c'est univers que des femmes, Flore Dupin et encore Jeanne de Dampierre, Béguine et maîtresse de Charles se retrouvent pourchassées par l'inquisition.
Ça bouge, les poursuites endiablées s'enchainent sur un rythme soutenu. Encore un bon Calmel.
La méthode est bien connue et marche plutôt bien. Créer des personnages que l'auteure insère dans un fond historique hyper connu mais où il sera bon d'y replonger grâce à internet et aux livres des historiens.
Cette période, 14e siècle était riche en horreurs de tous genre. D'abord les Templiers qui jetèrent un sort sur la royauté par l'entremise de Jacques de Molay le jour où il fut brûlé. Ce trésor qu'ils auraient caché et que jamais on ne retrouva. L'inquisition qui envoya à la mort tous et toutes qui se mettraient en travers de leur chemin macabre. Ces rois (dont Charles IV qui s'alliaient avec les inquisiteurs leur faisant ainsi faire les sales besognes au nom du Christ.
Voilà, c'est dans c'est univers que des femmes, Flore Dupin et encore Jeanne de Dampierre, Béguine et maîtresse de Charles se retrouvent pourchassées par l'inquisition.
Ça bouge, les poursuites endiablées s'enchainent sur un rythme soutenu. Encore un bon Calmel.
