. où l'on retrouve Montalbano et son équipe. Notre commissaire combat joyeusement son angoisse de vieillir par la bonne chère et les tentations de la chair même si celles-ci peuvent se révéler de dangereux miroirs aux alouettes .Car les adversaires mafieux et politiques font feu de tout bois pour égarer sa perspicacité . Et ,comme toujours ,quel bonheur de langage remarquablement traduit par S.
Quadruppani !…
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