Sonnez trompettes, résonnez musettes, battez tambours, voici
la machine à câlins!
C'est un geste automatique.
Une cible, un câlin.
Et celle de l'histoire semble impitoyable d'amours et n'aura de cesse, pour sauver le monde ( quoi d'autre).
Le petit garçon de l'histoire prend la posture d'un petit robot, marche mécanique, bras raides et ouverts, le regard figé.
Chaque membre de la famille semble perplexe, le pouvoir est peut-être un peu lent à faire son chemin.
Mais il ne s'agit pas que d'eux uniquement, il faut embrasser le monde, la mission s'étend donc dans le quartier.
L'humour s'installe à plusieurs titres, les passants s'attachant plus à la forme qu'au fond, ce petit koala qui s'agrippe et sort dont ne sait où.
Le jeu du petit amusera les lecteurs, autant que la mine coi des " victimes" de l'amour.
Banc, arbre, boîte aux lettres, il n'épargnera personne.
Terrible de "cruauté".
Avec
la machine à câlins, nous prenons le temps de définir avec les sens et le toucher, d'envisager son incroyable pouvoir de réunification avec soi et les autres.
À quoi fonctionne
la machine à câlins?
Vous le saurez à la fin.
Un album irrésistible.
Et vous? Avez-vous eu ou donné votre dose de câlins?