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Critique de Dianouche


Première lecture de Belinda Cannone, suite à une émission sur France Inter cet été sur la marche.
Un peu perplexe après la fermeture de l'ouvrage...

Une première partie douce, poétique, intime..
..Où je mets des mots sur des sensations éprouvées en montagne et ailleurs aussi :
-La forme du monde (j'adore !)
-La beauté, et cette notion de fardeau de la beauté
-Le plaisir dans l'effort
-Le sentiment océanique
-L'impermanence
-L'intensité, et l'énergie de vie
-Le pouvoir de se déplacer librement
-L'isolement et le silence
- L'émerveillement immédiat, sans mise en condition
..Où j'ouvre mes perspectives sur des notions non vraiment explorées
- le monde comme maison commune, ou la planète un bien commun, où les intérêts entrent en conflit avec la propriété privée
- Les entités naturelles qui peuvent être considérées comme sujet de droit dans la constitution, et défendable pour leur dégradation
- L'effort est le propre de l'homme, aucun animal ne se livre à d'efforts inutiles ou pour jouir des sensations du corps
- Tous les êtres vivants dépensent joyeusement leur énergie pour fêter la vie qui bât en eux
- L'homme est une création du désir, et non du besoin (Bachelard).

Une deuxième partie qui retranscrit des extraits de lectures montagnardes qui me laissent coite.
Je n'y ai pas trouvé la joliesse de la première partie.
Et me suis même demandée si Madame Cannone a eu besoin d'abréger l'ouvrage.

Ce n'est qu'une perception personnelle, qui ne demande qu'à être partagée.
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