>
Critique de NLG
Devil Town, Arkansas:
Anton convie ses amis également auteurs de thriller à séjourner dans sa nouvelle demeure "Crescent House" pour une partie d'écriture.
Après avoir remonté une allée lugubre et découvert une bâtisse inquiétante, Dan se rend compte qu'il est le premier à être arrivé. En attendant les autres, il visite la maison qui est en pleine restauration.
Une des rumeurs locales prétend qu'en 1965, un écrivain nommé Bill Ellison, aurait été assassiné dans cette maison par des membres du Ku Klux Klan.
Pendant le week-end, tour à tour, les auteurs disparaissent mystérieusement de cette maison lugubre au lourd passé. Et dans la ville voisine, une famille est massacrée.
La légende a t'elle rattrapé la réalité ?
Avec Armelle Carbonel, il faut toujours s'attendre à l'effroi et aux ambiances glauques (voir Sinestra).
Et ce roman en a une bonne dose ! Mais d'où lui viennent ses idées pour faire frémir ses lecteurs ?
Cette fois-ci, elle joue la partie dans un huis-clos. Une maison très isolée, un temps pourri et des personnages étranges dans leur évolution. Sans compter le retour dans le passé !
Ce roman est en 2 parties :
- la 1ère, est une réunion d'auteurs qui se veut à la base pour leur permettre de se retrouver et pour certains retrouver l'inspiration. Pas évident pour eux avec la menace omniprésente qui rôde et leur disparition successive !
- la 2ème, déterre de vieux secrets. Notamment le lynchage, dans la même demeure, par le Ku Klux Klan de l'écrivain Bill Ellison et ce qui va s'ensuivre.
La plume de l'auteure les fusionne habilement.
Au fil des chapitres, l'auteure joue avec ses personnages et chamboule le lecteur. C'est très psychologique ! Les failles et la nature humaine sont mises à nues et les apparences sont trompeuses.
Quant au dénouement ... C'est du pur Armelle Carbonel !!! 😉
Lien : https://imagesderomans.blogs..
Anton convie ses amis également auteurs de thriller à séjourner dans sa nouvelle demeure "Crescent House" pour une partie d'écriture.
Après avoir remonté une allée lugubre et découvert une bâtisse inquiétante, Dan se rend compte qu'il est le premier à être arrivé. En attendant les autres, il visite la maison qui est en pleine restauration.
Une des rumeurs locales prétend qu'en 1965, un écrivain nommé Bill Ellison, aurait été assassiné dans cette maison par des membres du Ku Klux Klan.
Pendant le week-end, tour à tour, les auteurs disparaissent mystérieusement de cette maison lugubre au lourd passé. Et dans la ville voisine, une famille est massacrée.
La légende a t'elle rattrapé la réalité ?
Avec Armelle Carbonel, il faut toujours s'attendre à l'effroi et aux ambiances glauques (voir Sinestra).
Et ce roman en a une bonne dose ! Mais d'où lui viennent ses idées pour faire frémir ses lecteurs ?
Cette fois-ci, elle joue la partie dans un huis-clos. Une maison très isolée, un temps pourri et des personnages étranges dans leur évolution. Sans compter le retour dans le passé !
Ce roman est en 2 parties :
- la 1ère, est une réunion d'auteurs qui se veut à la base pour leur permettre de se retrouver et pour certains retrouver l'inspiration. Pas évident pour eux avec la menace omniprésente qui rôde et leur disparition successive !
- la 2ème, déterre de vieux secrets. Notamment le lynchage, dans la même demeure, par le Ku Klux Klan de l'écrivain Bill Ellison et ce qui va s'ensuivre.
La plume de l'auteure les fusionne habilement.
Au fil des chapitres, l'auteure joue avec ses personnages et chamboule le lecteur. C'est très psychologique ! Les failles et la nature humaine sont mises à nues et les apparences sont trompeuses.
Quant au dénouement ... C'est du pur Armelle Carbonel !!! 😉
Lien : https://imagesderomans.blogs..
