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Critique de AngyeCha
Archie est un jeune homme qui est placé depuis presque toujours en institution. Sa mère, toxico, ne sait pas s'occuper de lui. Et son père est aux abonnés absents. Lorsqu'il comprend que c'est sa mère qui ne souhaite pas le récupérer, et non pas les institutions qui freinent les choses, Archie décide de donner un nouvel élan à sa destinée. Madeleine, l'infirmière qui l'épaule depuis toujours, lui a parlé d'une école où l'on est libre d'apprendre que ce que l'on souhaite.
Archie part pour un voyage sur le sentier des douaniers pour rejoindre l'école, accompagné d'un petit carnet que lui a confié Madeleine. Elle le tient depuis qu'il est né, et il va lui conter l'histoire de sa vie. Commence un périple tout en poésie et en humanité, bouleversant d'espoir et d'abnégation.
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J'ai envie de commencer cette chronique en disant que ce livre est un coup de coeur, mais je crois que c'est une évidence quand il s'agit d'un roman de A.C, je vous épargne donc cette lapalissade et vous affirme que la plume d'Alia a encore frappé.
L'émotion me saisit dès les premières pages et ne me quittera plus jusqu'à la dernière. Alia est la bienveillance incarnée et ce roman en est le témoignage. Ce jeune homme a beaucoup souffert, et pourtant il est digne et garde la tête haute. Et il a envie d'aider sa mère, parce qu'il a le sentiment que si elle ne s'en sort pas, c'est parce qu'elle est seule, qu'elle a besoin de lui, comme victime d'un processus de parentification.
Le récit de sa naissance m'a coupé le souffle, m'obligeant à faire une pause tant j'ai été submergé par l'émotion. Alia évoque avec talent des situations difficiles, la drogue chez la femme enceinte, le sevrage du nouveau-né, c'est intense et terrifiant.
Ce voyage initiatique est merveilleux et la construction prodigieuse. Et l'habileté d'A.C. rend chaque ligne lumineuse, elle ne tombe jamais dans le pathos et c'est beau, puissamment beau. J'ai été traversé par une multitude de sentiments, un arc en ciel d'émotion.
Foncez !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Archie part pour un voyage sur le sentier des douaniers pour rejoindre l'école, accompagné d'un petit carnet que lui a confié Madeleine. Elle le tient depuis qu'il est né, et il va lui conter l'histoire de sa vie. Commence un périple tout en poésie et en humanité, bouleversant d'espoir et d'abnégation.
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J'ai envie de commencer cette chronique en disant que ce livre est un coup de coeur, mais je crois que c'est une évidence quand il s'agit d'un roman de A.C, je vous épargne donc cette lapalissade et vous affirme que la plume d'Alia a encore frappé.
L'émotion me saisit dès les premières pages et ne me quittera plus jusqu'à la dernière. Alia est la bienveillance incarnée et ce roman en est le témoignage. Ce jeune homme a beaucoup souffert, et pourtant il est digne et garde la tête haute. Et il a envie d'aider sa mère, parce qu'il a le sentiment que si elle ne s'en sort pas, c'est parce qu'elle est seule, qu'elle a besoin de lui, comme victime d'un processus de parentification.
Le récit de sa naissance m'a coupé le souffle, m'obligeant à faire une pause tant j'ai été submergé par l'émotion. Alia évoque avec talent des situations difficiles, la drogue chez la femme enceinte, le sevrage du nouveau-né, c'est intense et terrifiant.
Ce voyage initiatique est merveilleux et la construction prodigieuse. Et l'habileté d'A.C. rend chaque ligne lumineuse, elle ne tombe jamais dans le pathos et c'est beau, puissamment beau. J'ai été traversé par une multitude de sentiments, un arc en ciel d'émotion.
Foncez !
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