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Critique de Pois0n
Ce tome commence là où le précédent s'arrêtait. Pas de Monsieur Septembre pour Mia, la belle se concentre sur sa famille, ce qui ne sera pas sans lui causer quelques soucis auprès de sa tante comme de son créancier.
Ce n'est pas un mauvais tome, loin de là, surtout après la débandade du précédent. Sauf que bon, il faut avouer qu'il ne s'y passe pas grand-chose. Mia et Maddy, transformées en zombies, sont soutenues par leur nouveau grand-frère et le fiancé de la seconde, tout en apprenant à tous mieux se connaître les uns-les autres.
Non, le principal problème, c'est que trop, c'est trop. Entre les agissements de Blaine, l'état du père, la vérité derrière la disparition de Wes, la situation familiale des filles... on a juste l'impression que tous les malheurs du monde sont sur le dos de la pauvre Mia, que tout le monde aime, qui a désormais plus d'amis que jamais auparavant dans sa vie, qui plus est millionnaires et/ou haut placés (ça peut aider). Au début, Mia était presque une fille comme les autres, au physique avantageux, parcourant le pays et profitant de la vie. Là, soudainement, elle devient extraordinaire et toutes les tuiles possibles et imaginables lui tombent sur la tronche, comme s'il fallait équilibrer les forces. Mouais. Calendar Girl n'a jamais été une série réaliste, mais là, c'est quand même too much.
Mais le pire, c'est peut-être que mis à part ce défaut, ça se lit. On regrettera tout de même (spoiler) (fin spoiler), mais ça, limite, ça ne change pas par rapport à d'habitude...
Ce n'est pas un mauvais tome, loin de là, surtout après la débandade du précédent. Sauf que bon, il faut avouer qu'il ne s'y passe pas grand-chose. Mia et Maddy, transformées en zombies, sont soutenues par leur nouveau grand-frère et le fiancé de la seconde, tout en apprenant à tous mieux se connaître les uns-les autres.
Non, le principal problème, c'est que trop, c'est trop. Entre les agissements de Blaine, l'état du père, la vérité derrière la disparition de Wes, la situation familiale des filles... on a juste l'impression que tous les malheurs du monde sont sur le dos de la pauvre Mia, que tout le monde aime, qui a désormais plus d'amis que jamais auparavant dans sa vie, qui plus est millionnaires et/ou haut placés (ça peut aider). Au début, Mia était presque une fille comme les autres, au physique avantageux, parcourant le pays et profitant de la vie. Là, soudainement, elle devient extraordinaire et toutes les tuiles possibles et imaginables lui tombent sur la tronche, comme s'il fallait équilibrer les forces. Mouais. Calendar Girl n'a jamais été une série réaliste, mais là, c'est quand même too much.
Mais le pire, c'est peut-être que mis à part ce défaut, ça se lit. On regrettera tout de même (spoiler) (fin spoiler), mais ça, limite, ça ne change pas par rapport à d'habitude...
