Calendar Girl, tome 9 : Septembre

- Ta mère n'a jamais été bien dans sa tête, ma poupée, et tu le sais. Au fond de toi, tu sais qu'elle n'était pas faite pour avoir des enfants et mener une vie de famille. Son esprit avait besoin d'être libre de tout, sinon elle se sentait emprisonnée.

- Attends, tu lui trouves des excuses ?

Quand on aime autant une personne, on se soucie de son bonheur avant le sien. On fait des sacrifices. C'est un échange, bien sûr, mais ça fait partie de la vie de famille, d'une vie à deux.

Je n'ai jamais eu personne sur qui compter, quelqu'un qui laisserait tout tomber pour être avec moi.

Rien ne va changer, Mads. Rien. C'est toujours toi et moi contre le reste du monde, d'accord ?

Mon Dieu je vous en supplie, laissez-le vivre, s'il vous plaît. Faites qu'il puisse revenir à moi.

Je suis face au diable et je ne peux pas montrer la moindre faiblesse.

Aucun homme n'est plus beau qu'un homme qu'on aime de tout son cœur.

- Avec toi, j'ai l'impression qu'aimer est facile alors que j'en ai toujours souffert. Lorsque je suis avec toi, j'ai l'impression d'être allongée sur la surface du soleil sans jamais me brûler. Mon amour pour toi m'a changée, je ne suis plus la même. J'arrive presque à croire que je mérite tout ce que tu m'as promis, notre paradis.

- Il y a beaucoup de choses dont il faut qu’on parle, mais ouais, toi et moi, c’est pour toujours. Je ne veux plus attendre d’avoir mon paradis. Je t’emmènerai à l’autel de force s’il le faut, mais je refuse de vivre un autre jour en m’inquiétant pour toi...

"Je suis désolée, Mademoiselle, mais son état ne s'améliore pas."
"Mia, nous sommes là pour toi."
"On continue de prier pour un miracle."
"Je crains que les chances de votre père ne soient très minces."
"Surtout, prévenez votre famille."
"Parlez-lui. Faites-lui vos adieux."