>
Critique de JLBlecteur
Ha, que dire de ce roman dont l'envie de le lire m'a été donnée par une interview de son autrice sur France Inter alors que j'en avais déjà lu et aimé le premier livre autobiographique racontant son étrange enfance (les rêveurs).
Un jeune garçon de 10ans, Ziad, découvre que son père vit une aventure avec la voisine du 5ème qu'il décide d'aller rencontrer pour lui demander de mettre fin à la relation. de cette rencontre naît une amitié entre le préadolescent et la maîtresse, ancienne actrice qui a cessé de tourner (un seul film à son actif) pour avoir du subir une relation non désirée avec le réalisateur.
Bon début, bon pitch, mais après ?
Après, on suit la jeune actrice dans son expérience traumatisante ou l'idée du consentement est le fil rouge.
Puis, on change d'histoire ou plutôt on suit les méandres de la famille du gamin, celles de son père qui fera face à une grave maladie et de sa mère dont les déambulations alcoolisées de femme bafouée nous laissent interrogatif.
Que dire encore de l'erreur de prénom commise à deux reprises au sujet de la mère de l'enfant qui nous égare encore plus dans le labyrinthe incompréhensible de ses fugues aux lourdes conséquences ?
Désemparé je suis à la fin de cette lecture, enthousiaste pour la première partie, bien moins par la seconde et par la fin qui me semble un peu bâclée comme arrivant parcequ'il faut bien arriver.
Pas convaincu! du tout!!
Un jeune garçon de 10ans, Ziad, découvre que son père vit une aventure avec la voisine du 5ème qu'il décide d'aller rencontrer pour lui demander de mettre fin à la relation. de cette rencontre naît une amitié entre le préadolescent et la maîtresse, ancienne actrice qui a cessé de tourner (un seul film à son actif) pour avoir du subir une relation non désirée avec le réalisateur.
Bon début, bon pitch, mais après ?
Après, on suit la jeune actrice dans son expérience traumatisante ou l'idée du consentement est le fil rouge.
Puis, on change d'histoire ou plutôt on suit les méandres de la famille du gamin, celles de son père qui fera face à une grave maladie et de sa mère dont les déambulations alcoolisées de femme bafouée nous laissent interrogatif.
Que dire encore de l'erreur de prénom commise à deux reprises au sujet de la mère de l'enfant qui nous égare encore plus dans le labyrinthe incompréhensible de ses fugues aux lourdes conséquences ?
Désemparé je suis à la fin de cette lecture, enthousiaste pour la première partie, bien moins par la seconde et par la fin qui me semble un peu bâclée comme arrivant parcequ'il faut bien arriver.
Pas convaincu! du tout!!
