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Critique de clemaufildespages
UN POLAR ESPAGNOL QUI SE DÉVORE ! 😍
New-York, 1998. Kiara, une fillette de 3 ans disparaît dans la foule en pleine parade de Thanksgiving et n'est jamais retrouvée.
Cinq ans plus tard, ses parents reçoivent un colis contenant une cassette sur laquelle leur fille apparaît en parfaite santé. Attirée par l'affaire, Miren, une jeune journaliste retrouve peu à peu des nouveaux indices. Sa détermination au sujet de cette affaire, qui remue des démons de sa propre histoire est infinie.
J'ai adoré ce roman ultra efficace qui nous embarque dès les premières pages et nous entraîne au coeur des pensées des protagonistes. Petit à petit, pages après pages, Javier Castillo nous livre des pièces du puzzle. La structure narrative est plus que réussie et les différentes temporalités participent à ce maintien de tension et de suspense. C'est fluide et très addictif (mention spéciale à la traduction de Romain Puertolas dont j'ai eu le sentiment de retrouver la belle patte !)
La petite fille sous la neige est un polar qui plaira à ceux qui sont allergiques aux débordements d'hémoglobine. Ici, le récit est centré sur le drame familial et la psychologie des personnages. le journalisme, les violences faites au femmes, la culpabilité. J'ai ressenti la détresse des parents de Kiara ainsi que la frustration et l'impuissance de ceux cherchent la fillette.
Une fin qui appelle à une suite... si c'est le cas je serais au rendez-vous ! J'espère que nous aurons l'occasion de retrouver l'attachante Miren qui a su transcender un événement traumatique qu'elle a vécu en véritable force...
Je m'attendais à une ambiance hivernale au vu du titre, (et j'aurais adoré !) mais il n'en est rien. La seule neige dont il est question est bien celle qui tombe sur l'écran quand la cassette vidéo prend fin.
Si on est loin du coup de coeur, je dois bien avouer que je me suis régalée à lire ce polar espagnol et je compte bien visionner la série bientôt afin de me faire un deuxième avis !
New-York, 1998. Kiara, une fillette de 3 ans disparaît dans la foule en pleine parade de Thanksgiving et n'est jamais retrouvée.
Cinq ans plus tard, ses parents reçoivent un colis contenant une cassette sur laquelle leur fille apparaît en parfaite santé. Attirée par l'affaire, Miren, une jeune journaliste retrouve peu à peu des nouveaux indices. Sa détermination au sujet de cette affaire, qui remue des démons de sa propre histoire est infinie.
J'ai adoré ce roman ultra efficace qui nous embarque dès les premières pages et nous entraîne au coeur des pensées des protagonistes. Petit à petit, pages après pages, Javier Castillo nous livre des pièces du puzzle. La structure narrative est plus que réussie et les différentes temporalités participent à ce maintien de tension et de suspense. C'est fluide et très addictif (mention spéciale à la traduction de Romain Puertolas dont j'ai eu le sentiment de retrouver la belle patte !)
La petite fille sous la neige est un polar qui plaira à ceux qui sont allergiques aux débordements d'hémoglobine. Ici, le récit est centré sur le drame familial et la psychologie des personnages. le journalisme, les violences faites au femmes, la culpabilité. J'ai ressenti la détresse des parents de Kiara ainsi que la frustration et l'impuissance de ceux cherchent la fillette.
Une fin qui appelle à une suite... si c'est le cas je serais au rendez-vous ! J'espère que nous aurons l'occasion de retrouver l'attachante Miren qui a su transcender un événement traumatique qu'elle a vécu en véritable force...
Je m'attendais à une ambiance hivernale au vu du titre, (et j'aurais adoré !) mais il n'en est rien. La seule neige dont il est question est bien celle qui tombe sur l'écran quand la cassette vidéo prend fin.
Si on est loin du coup de coeur, je dois bien avouer que je me suis régalée à lire ce polar espagnol et je compte bien visionner la série bientôt afin de me faire un deuxième avis !
