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Critique de bdelhausse


Un tome plaisant à lire et qui voit, une fois n'est pas coutume, Chesterfield et Blutch agir de conserve... pour s'évader du camp de prisonniers de Robertsonville (d'où le titre).

On a droit à toutes les trouvailles possibles et imaginables pour s'évader, du banal trou au déguisement en visiteuses de prison. le comble de l'ironie est atteint quand les deux compères arrivent à s'évader déguisés en soldats sudistes. Cherchant à s'enfuir vers leurs lignes, ils vont mener la charge des troupes ennemies, et être faits prisonniers par leur propre camp. Mais, rompus à l'exercice, ils s'évaderont de nouveau...

Afin de tonifier le récit (déjà bien emballé), les auteurs ont ajouté Cancrelat... un maton du camp de Robertsonville, qui porte bien son surnom.

Les auteurs mènent (de nouveau) bien l'absurde de la guerre. Divertissant, sans rien révolutionner.
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