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Critique de Annelisefreour
Roman militant et chocolat amer...
Le roman est un quasi-huis clos entre deux personnages atypiques : Deux femmes qui ne sont plus dans la fleur de l'âge, se rencontrent et se cherchent, s'attirent et se repoussent, chacune avec ses raisons et son vécu douloureux. L'une est madrée, l'autre pas, mais elle ne veut pas pour autant se laisser faire. Parviendront-elles à s'aimer ?
Le rythme est énergique et le propos impertinent, souvent rude, parfois tendre. Il ouvre sur des questions très actuelles sur l'amour, le sexe, l'âge d'aimer, la domination masculine. Les dialogues, à fleurets (pas toujours) mouchetés, remettent en place certaines idées toutes faites sur l'homosexualité, féminine, en particulier.
Une lecture qui vous fera réfléchir, avec, en prime, les créations graphiques de Andrea B. Cecil, et quelques locutions italiennes hautes en couleurs.
Lien : http://leromandaventures.ove..
Le roman est un quasi-huis clos entre deux personnages atypiques : Deux femmes qui ne sont plus dans la fleur de l'âge, se rencontrent et se cherchent, s'attirent et se repoussent, chacune avec ses raisons et son vécu douloureux. L'une est madrée, l'autre pas, mais elle ne veut pas pour autant se laisser faire. Parviendront-elles à s'aimer ?
Le rythme est énergique et le propos impertinent, souvent rude, parfois tendre. Il ouvre sur des questions très actuelles sur l'amour, le sexe, l'âge d'aimer, la domination masculine. Les dialogues, à fleurets (pas toujours) mouchetés, remettent en place certaines idées toutes faites sur l'homosexualité, féminine, en particulier.
Une lecture qui vous fera réfléchir, avec, en prime, les créations graphiques de Andrea B. Cecil, et quelques locutions italiennes hautes en couleurs.
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