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Critique de ASauger
Qu'est-ce que pareille critique si ce n'est la missive d'un brave chevalier errant adressé à d'autres qui suivront un jour ses pas.
Don Quichotte, Sancho Panza, sachez que j'aurai aimé être l'un de vos contemporains, était-ce comme barbier ou chevrier, afin de vous croiser par chance sur quelques chemins castillans.
Hélas, puisque cela m'est impossible, je remercie Cervantès de m'avoir conté vos folles aventures et de vos extravagantes rencontres.
Fusse-t-il le premier roman moderne ou le dernier d'une époque révolue n'a pour moi guère d'importance. Aux yeux d'un lecteur Contemporain, cette histoire n'a rien à envier à ce que la postérité a pu délivrer.
La narration y est savoureuse, à la différence de Bouvard et Pécuchet je n'ai pas eu l'impression que le comique s'y répétait jusqu'à en perdre tout son sens, chaque blague et chaque situation ont su faire mouche et réussirent à décrocher sur ma triste figure d'honnêtes sourires.
Jamais je n'ai eu l'impression qu'un passage était trop long, ce qui est assez rare (je trouve) dans les romans pré-XIXème.
Au plaisir de lire le tome 2 et d'en apprendre plus sur ces joyeux lurons :)
Don Quichotte, Sancho Panza, sachez que j'aurai aimé être l'un de vos contemporains, était-ce comme barbier ou chevrier, afin de vous croiser par chance sur quelques chemins castillans.
Hélas, puisque cela m'est impossible, je remercie Cervantès de m'avoir conté vos folles aventures et de vos extravagantes rencontres.
Fusse-t-il le premier roman moderne ou le dernier d'une époque révolue n'a pour moi guère d'importance. Aux yeux d'un lecteur Contemporain, cette histoire n'a rien à envier à ce que la postérité a pu délivrer.
La narration y est savoureuse, à la différence de Bouvard et Pécuchet je n'ai pas eu l'impression que le comique s'y répétait jusqu'à en perdre tout son sens, chaque blague et chaque situation ont su faire mouche et réussirent à décrocher sur ma triste figure d'honnêtes sourires.
Jamais je n'ai eu l'impression qu'un passage était trop long, ce qui est assez rare (je trouve) dans les romans pré-XIXème.
Au plaisir de lire le tome 2 et d'en apprendre plus sur ces joyeux lurons :)
