>
Critique de Il_voyage
La petite déception du moment ...
Il me semble que c'est une critique lue sur Babelio (mais en suis-je vraiment sûr ?) qui m'avait fait inscrire ce "Yellow cab" dans la liste de mes envies.
Et le voilà qui débarque dans ma médiathèque. Puis dans mon salon.
Et je suis très mitigé au final. Rien à redire sur le graphisme, la mise en images de Christophe Chabouté. Un ouvrage en noir et blanc splendide, une déclaration d'amour à Big Apple tout autant qu'une plongée dans un rêve américain parfois illusoire.
C'est donc plutôt le propos auquel je suis resté un peu hermétique, cette histoire d'un réalisateur qui, pour trouver inspiration et matière pour un futur film documentaire se transforme en taxi driver. Prétexte à une introspection et à une réflexion sur le processus créatif.
Et comme il s'agit d'un récit autobiographique, il me reste à lire l'ouvrage que Benoît Cohen a tiré de son expérience. Pour voir si vraiment, c'est bien le récit qui m'a laissé à distance ou si ce sont les choix narratifs de Chapouté qui m'auront laissé à quai.
Il me semble que c'est une critique lue sur Babelio (mais en suis-je vraiment sûr ?) qui m'avait fait inscrire ce "Yellow cab" dans la liste de mes envies.
Et le voilà qui débarque dans ma médiathèque. Puis dans mon salon.
Et je suis très mitigé au final. Rien à redire sur le graphisme, la mise en images de Christophe Chabouté. Un ouvrage en noir et blanc splendide, une déclaration d'amour à Big Apple tout autant qu'une plongée dans un rêve américain parfois illusoire.
C'est donc plutôt le propos auquel je suis resté un peu hermétique, cette histoire d'un réalisateur qui, pour trouver inspiration et matière pour un futur film documentaire se transforme en taxi driver. Prétexte à une introspection et à une réflexion sur le processus créatif.
Et comme il s'agit d'un récit autobiographique, il me reste à lire l'ouvrage que Benoît Cohen a tiré de son expérience. Pour voir si vraiment, c'est bien le récit qui m'a laissé à distance ou si ce sont les choix narratifs de Chapouté qui m'auront laissé à quai.
