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Critique de fandepolars
Ce livre porte très bien son nom. Il nous broie les tripes du début à la fin, on en ressort lessivés au point de nous poser des questions: et si...
Des enfants kidnappés, écrasés, dressés afin d'en faire des machines prêtes à tout et sans états d'ame!
Deux histoires en apparence distinctes mais qui finissent par se télescoper. Deux constructions , qui m'ont interpelée par leur importance.
Des personnages bien construits, une histoire qui tient et nous amène aux confins de l'horreur. Un livre touchant qui montre les ravages de la maltraitance infantile, l'importance du lien social qui régit les êtres humains, et le besoin vital de reconnaissance et d'amour.
Une histoire noire, très noire qui interroge aussi sur les méandres de l'esprit humain!
un gros coup de coeur pour moi une très belle découverte encore cette année (avec Antoine Renand)
Un auteur que je vais suivre c'est sûr, car il n'a vraiment pas choisi la simplicité avec ce récit.
Un livre que je recommande vivement et qui mérite amplement les 5 étoiles. Cédric Cham bravo !
et merci à mes deux amis pour avoir insisté Florence Dawans et Pierre Faverolle.
Des enfants kidnappés, écrasés, dressés afin d'en faire des machines prêtes à tout et sans états d'ame!
Deux histoires en apparence distinctes mais qui finissent par se télescoper. Deux constructions , qui m'ont interpelée par leur importance.
Des personnages bien construits, une histoire qui tient et nous amène aux confins de l'horreur. Un livre touchant qui montre les ravages de la maltraitance infantile, l'importance du lien social qui régit les êtres humains, et le besoin vital de reconnaissance et d'amour.
Une histoire noire, très noire qui interroge aussi sur les méandres de l'esprit humain!
un gros coup de coeur pour moi une très belle découverte encore cette année (avec Antoine Renand)
Un auteur que je vais suivre c'est sûr, car il n'a vraiment pas choisi la simplicité avec ce récit.
Un livre que je recommande vivement et qui mérite amplement les 5 étoiles. Cédric Cham bravo !
et merci à mes deux amis pour avoir insisté Florence Dawans et Pierre Faverolle.
