"L'éditeur obscur" (2023) indique en guise de courte préface avoir découvert le poème d'
Alain Chartier grâce à celui de
John Keats portant le même titre, "
La Belle Dame Sans Merci" (que l'on retrouve, en anglais, en fin de volume).
Autre accès au poème. Dans la préface de l'édition 2020 du Grand Meaulnes en Pléiade,
Philippe Berthier souligne l'importance qu'a pu avoir ce poème datant du XVe siècle pour
Alain-Fournier, dont celui-ci retrouva la trace dans La Damoiselle élue - écrit par
Dante Gabriel Rossetti en 1850 et mis en musique par Debussy en 1887-1888 -, chez
John Keats ou, de manière plus diffuse, dans Pelléas et Mélisande (Maeterlinck/Debussy).
"(...)
Alain Chartier, à qui il emprunta son prénom, et que l'inoubliable baiser reçu de Marguerite d'Écosse avait suffi à immortaliser" (
Alain-Fournier,
le Grand Meaulnes, préface de Ph. Berthier, p. XVII, La Pléiade, 2020).
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