Si nous nous adonnons à l’étude de quelque chose de nouveau, le monde cesse de nous effrayer. Ce n’est que lorsque l’on reste immobile à rien faire que la peur peut nous envahir.
Probablement moins élitistes que les Français, les Asiatiques n’idéalisent pas les génies. Pour eux, ce qui caractérise les personnes qui réalisent de grandes choses, c’est leur capacité à ne pas se disperser.
Si vous voulez être capable de prendre efficacement des décisions importantes, vous devez apprendre à limiter le nombre de choix que vous faites dans la journée.
Pour prendre sa vie en main, il faut d’abord apprendre à contrôler son esprit. Mais pour maîtriser ses pensées, il faut commencer par rectifier son langage.
Quand l’insouciance de l’enfance s’est envolée, le poids du regard des autres engourdit l’âme et le corps.
La capacité de faire des choix doit s’entraîner de la même manière qu’un maître approfondit sa maîtrise des arts martiaux.
La qualité de votre vie est autant définie par les choix que vous faites que par ce qui se produit indépendamment de votre volonté.
Si nous oublions notre joie de vivre sur le chemin qui mène à nos ambitions, alors nous ne connaîtrons pas le véritable sens de la réussite.
Étudier sans penser est vain, mais penser sans étudier est dangereux.
Si vous souhaitez apprivoiser votre cerveau pour l’amener à se concentrer plus facilement sur certaines tâches, vous devez impérativement créer des « routines » et des petits rituels de mise en condition.