Déception pour ma part. L'exercice consistant à bâtir cet essai sous forme épistolaire m'a paru artificiel, je n'ai trouvé aucune réalité à cette femme à qui sont censées être adressées les épîtres de M. Cheng. Ce qui sauve cet ouvrage, n'est nullement la qualité du style, qui est bien trop oubliable et cérébral pour nous être rendu sensible, mais les citations extensives d'écrivains du passé dont l'auteur a l'honnêteté de reconnaître qu'ils sont plus grands que lui. Mais ne vaut-il pas mieux lire
Blaise Pascal ou
Simone Weil directement plutôt que d'en ingurgiter cet insipide succédané ?
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