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Critique de BullesSFFFdeMarieD
Recueil de nouvelles poétiques, écrites par celui qui est considéré comme le premier auteur de SF Queer d'Asie, Chi Ta-wei navigue entre fantastique et SF où se croisent Humanoïdes de réconfort, mangeurs d'insectes, faune, sirène, enquêteur intergalactique… avec toujours en fond, le questionnement sur la société taïwanaise, sur le rêve d'une société plus inclusive, dans laquelle chacun pourrait aimer qui il souhaite, avoir l'apparence qu'il souhaite, ou pas, sans que cela ne soit l'objet d'un rejet.
Encore un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) qui traînait dans ma PAL depuis 2020. Cette lecture fut pour moi une expérience étrange, car j'ai oscillé durant toute ma lecture entre la fascination et le dégoût. Fascination, car l'écriture et les traductions, sont extrêmement belles, parce que certaines de ces histoires sont sublimes comme « La guerre est finie » ou « Perles », mais dégoût face aux obsessions de l'auteur, déjà croisées chez des auteurs japonais, pour les fluides corporels ce qui me laisse toujours un peu songeuse 🤔. Néanmoins, l'expérience reste globalement positive puisque j'ai bien l'intention de lire son précédent roman, traduit en 2015, « Membrane » chez l'Asiathèque.
Encore un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) qui traînait dans ma PAL depuis 2020. Cette lecture fut pour moi une expérience étrange, car j'ai oscillé durant toute ma lecture entre la fascination et le dégoût. Fascination, car l'écriture et les traductions, sont extrêmement belles, parce que certaines de ces histoires sont sublimes comme « La guerre est finie » ou « Perles », mais dégoût face aux obsessions de l'auteur, déjà croisées chez des auteurs japonais, pour les fluides corporels ce qui me laisse toujours un peu songeuse 🤔. Néanmoins, l'expérience reste globalement positive puisque j'ai bien l'intention de lire son précédent roman, traduit en 2015, « Membrane » chez l'Asiathèque.
