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Critique de Bonheur_Lecture
Tout d'abord, je tiens à remercier les Éditions Grasset et Netgalley pour ce partenariat.
Dans ce témoignage, Isabelle Choko, jeune polonaise nous livre sa vie, son enfance qui s'achève brutalement suite à son envoi au ghetto de Lódz avec ses parents où elle perdra son père, victime de malnutrition, à sa déportation dans les camps de la mort, en commençant par Auschwitz, puis Waldeslust pour terminer par Bergen Belsen d'où elle sortira vivante mais sans sa mère, qu'elle a soutenu du mieux qu'elle pouvait.
Je me répète encore mais mon engouement pour la Seconde Guerre Mondiale et notamment mon envie de savoir, d'en apprendre encore toujours plus sur cette période m'ont poussé à lire ce livre.
Comment décrire ce que j'ai ressenti en lisant ce livre avec des mots justes ? On ne sort pas indemne de ce genre de lecture.
Isabelle Choko nous raconte son histoire avec une extrême sagesse, une certaine pudeur dans le choix de ses mots pour nous livrer l'indicible, l'insupportable, l'enfer, l'invivable. Elle qui a connu la peur, la faim, la soif, la maladie, qui a côtoyé la mort. Mais qui a aussi connu l'entraide, le partage, l'espoir, l'envie.
Je suis en admiration devant cette femme qui trouve encore la force, à plus de 90 ans, d'aller témoigner dans les collèges et les lycées, afin que personne n'oublie la Shoah. Comme elle le dit si bien, ce sont les jeunes qui bâtiront l'avenir de cette Terre et que jamais plus, cela ne se reproduise.
C'est avec une grande émotion que je referme ce court témoignage dont je n'ai pu m'empêcher de tourner les pages et que je ne suis pas prête d'oublier.
Je me permets de terminer tout simplement par : Bravo et Merci Madame Choko.
Dans ce témoignage, Isabelle Choko, jeune polonaise nous livre sa vie, son enfance qui s'achève brutalement suite à son envoi au ghetto de Lódz avec ses parents où elle perdra son père, victime de malnutrition, à sa déportation dans les camps de la mort, en commençant par Auschwitz, puis Waldeslust pour terminer par Bergen Belsen d'où elle sortira vivante mais sans sa mère, qu'elle a soutenu du mieux qu'elle pouvait.
Je me répète encore mais mon engouement pour la Seconde Guerre Mondiale et notamment mon envie de savoir, d'en apprendre encore toujours plus sur cette période m'ont poussé à lire ce livre.
Comment décrire ce que j'ai ressenti en lisant ce livre avec des mots justes ? On ne sort pas indemne de ce genre de lecture.
Isabelle Choko nous raconte son histoire avec une extrême sagesse, une certaine pudeur dans le choix de ses mots pour nous livrer l'indicible, l'insupportable, l'enfer, l'invivable. Elle qui a connu la peur, la faim, la soif, la maladie, qui a côtoyé la mort. Mais qui a aussi connu l'entraide, le partage, l'espoir, l'envie.
Je suis en admiration devant cette femme qui trouve encore la force, à plus de 90 ans, d'aller témoigner dans les collèges et les lycées, afin que personne n'oublie la Shoah. Comme elle le dit si bien, ce sont les jeunes qui bâtiront l'avenir de cette Terre et que jamais plus, cela ne se reproduise.
C'est avec une grande émotion que je referme ce court témoignage dont je n'ai pu m'empêcher de tourner les pages et que je ne suis pas prête d'oublier.
Je me permets de terminer tout simplement par : Bravo et Merci Madame Choko.
