Attirée par le titre (le héron est l'un de mes oiseaux préférés, et Guernica est un tableau qui m'a toujours beaucoup émue) je me suis laissée guider par l'auteur
Antoine Choplin, ou plutôt par le personnage du livre, Basilio, peintre délicat au regard poétique qui ne peint que des hérons.
Par ses yeux nous allons découvrir l'impensable, l'horreur des bombardements, la violence, la destruction, la souffrance et la mort.
Mais, comme, justement, on voit tout ça avec son regard à lui, sa douceur, sa poésie, ça prend une étrange couleur, une drôle de sonorité, un goût d'impossible.
Commenter  J’apprécie         170