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Critique de Janelle2
L'histoire commence dans le milieu du spectacle. Une talentueuse jeune américaine parodie avec humour une de ses compatriotes, actrice en vogue du moment. Bizarrement, cette dernière sollicite l'aide de Poirot pour obtenir de son mari un divorce qu'il semble lui refuser. Bien que ce ne soit pas dans les habitudes du grand détective, le voilà tout de même embarqué dans une démarche auprès du mari, lord anglais au caractère difficile. Alors quand le fameux lord est assassiné, Poirot se sent largement impliqué dans l'histoire et même l'enquête.
Avec lui, nous essayons aussi de découvrir le fin mot de l'énigme. Seulement Agatha Christie s'y connait pour nous diriger vers de fausses pistes. Les évidences ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. On le sait d'ailleurs, alors on cherche au-delà, et l'on fini par s'égarer dans ce jeu de dupes. Sans compter que nous voilà parasités par des souvenirs d'histoires proches. "Est-ce que la même astuce n'a pas été employée dans un film récemment regardé ? Dans ce cas ce devrait être lui le coupable, mais pourquoi ? Il a le moyen, l'occasion, mais quel est son mobile ?"
Et la lecture se poursuit apportant d'autres hypothèses et d'autres fausses pistes, jusqu'à la révélation finale, claire et plausible sans être dénuée d'un brin de machiavélisme.
Bref je ne me lasse pas de l'atmosphère et de l'écriture des romans d'Agatha Christie.
Dans cette histoire, je trouve les portraits féminins plus percutants que les personnages masculins. Lady Edgware, Carlotta Adams et son amie mènent des carrières professionnelles avec brio. de l'autre côté, Lord Edgware a un côté sombre. Son neveu est un aristocrate désargenté. L'acteur Bryan Martin semble vivre plus sur sa gloire passée que confiant en son avenir.
Je dois avouer avoir un faible pour Carlotta Adams. J'ignorais d'ailleurs que le one-woman-show humoristique existait déjà dans les années 30. Belle découverte.
Avec lui, nous essayons aussi de découvrir le fin mot de l'énigme. Seulement Agatha Christie s'y connait pour nous diriger vers de fausses pistes. Les évidences ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. On le sait d'ailleurs, alors on cherche au-delà, et l'on fini par s'égarer dans ce jeu de dupes. Sans compter que nous voilà parasités par des souvenirs d'histoires proches. "Est-ce que la même astuce n'a pas été employée dans un film récemment regardé ? Dans ce cas ce devrait être lui le coupable, mais pourquoi ? Il a le moyen, l'occasion, mais quel est son mobile ?"
Et la lecture se poursuit apportant d'autres hypothèses et d'autres fausses pistes, jusqu'à la révélation finale, claire et plausible sans être dénuée d'un brin de machiavélisme.
Bref je ne me lasse pas de l'atmosphère et de l'écriture des romans d'Agatha Christie.
Dans cette histoire, je trouve les portraits féminins plus percutants que les personnages masculins. Lady Edgware, Carlotta Adams et son amie mènent des carrières professionnelles avec brio. de l'autre côté, Lord Edgware a un côté sombre. Son neveu est un aristocrate désargenté. L'acteur Bryan Martin semble vivre plus sur sa gloire passée que confiant en son avenir.
Je dois avouer avoir un faible pour Carlotta Adams. J'ignorais d'ailleurs que le one-woman-show humoristique existait déjà dans les années 30. Belle découverte.
