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Critique de Luria
Gloire aux boîtes à livres,
Elles permettent, comme souvent aussi les vendeurs ambulants de livres d'occasion, de récupérer de vieilles versions jaunies jusqu'à la tranche de bouquins d'Agatha Christie.
Il y en avait deux dans cette boîte-là perdue dans un village penché sur une montagne haut-savoyarde, et parmi ces deux-là, le Flambeau.
Edité sur le tard ces nouvelles sont fantastiques et non policières. Enfin nouvelles, ébauche de nouvelles, ça frôle, tâtonne, ne va pas très loin. Assez peu inspiré, presque caricature de la nouvelle fantastique, j'y ai plus vu une série qu'on pourrait lire sur un journal chaque semaine. Chaque jeudi, une nouvelle fantastique d'Agatha Christie ! Achetez le supplément du jouuuuuur !
D'habitude j'aime bien les nouvelles de la Dame, on y décèle les ébauches/idées de ses plus longs romans, ce qui est assez plaisant à lire quand on connait bien ses bouquins. Là, ça se lit toujours très bien, mais on frôle trop le genre pour y retrouver quoi que ce soit. Une lecture-déception pour moi.
Elles permettent, comme souvent aussi les vendeurs ambulants de livres d'occasion, de récupérer de vieilles versions jaunies jusqu'à la tranche de bouquins d'Agatha Christie.
Il y en avait deux dans cette boîte-là perdue dans un village penché sur une montagne haut-savoyarde, et parmi ces deux-là, le Flambeau.
Edité sur le tard ces nouvelles sont fantastiques et non policières. Enfin nouvelles, ébauche de nouvelles, ça frôle, tâtonne, ne va pas très loin. Assez peu inspiré, presque caricature de la nouvelle fantastique, j'y ai plus vu une série qu'on pourrait lire sur un journal chaque semaine. Chaque jeudi, une nouvelle fantastique d'Agatha Christie ! Achetez le supplément du jouuuuuur !
D'habitude j'aime bien les nouvelles de la Dame, on y décèle les ébauches/idées de ses plus longs romans, ce qui est assez plaisant à lire quand on connait bien ses bouquins. Là, ça se lit toujours très bien, mais on frôle trop le genre pour y retrouver quoi que ce soit. Une lecture-déception pour moi.
