Mes cent premières pages d'un livre en cent mots :
Une fourmi introduit notre lecture de «
La Forêt Sombre ». On devine son parcours à mesure de ses déambulations sur la pierre. Minuscule à l'échelle de l'homme et face à l'immensité de la nature, elle nous rappellera notre propre place dans le cosmos. Ce qui intéresse particulièrement au départ de cette suite, c'est la réaction des hommes face à un problème identifié, accepté par les élites, mais situé si loin dans le temps qu'il rend complexe toute projection et recherche de solution. Quant à nous, lecteurs, nous nous sentons comme cette fourmi face au travail titanesque de
Liu Cixin.
La forêt sombre –
Liu Cixin,
Actes Sud, 2017
CENT pour 100 numéro 20
Commenter  J’apprécie         30